La reconnaissance diplomatique de l’intégrité territoriale marocaine n’était toutefois pas le seul leitmotiv de cette politique africaine. Sur le plan humanitaire par exemple, Mohammed VI reproduit en matière de politique étrangère les mêmes pratiques qui caractérisent son style politique au niveau intérieur : des dons directs, la rencontre des populations et plus généralement un investissement personnel dans le développement social. Cette stratégie contraste clairement avec le passé. L’ouvrage La politique africaine du Maroc : identité de rôle et projection de puissance, invite à Le Maroc deviendra une puissance mondiale dans la production de pétrole. C’est le cas par exemple dans la gestion de l’électricité, le Maroc ayant atteint un taux de 99 % en matière d’électrification rurale en 2019 contre moins de 30 % en 1999. Cette intégration a reposé principalement sur le levier diplomatique et sur une « stratégie indirecte » conduite depuis le début du règne de Mohammed VI. L’ensemble des ministères, ainsi que le secteur privé étaient mis à contribution dans cet effort pour instaurer un cadre juridique, des normes et des règles de coopération propres à faciliter le travail des secteurs publics comme privés. La particularité de cette diplomatie de sécurité religieuse réside dans sa dimension spécifiquement africaine, puisqu’elle a accompagné l’affirmation du royaume en tant que pays africain, au-delà de son caractère arabo-amazighe. Toutes ces initiatives ont participé à conforter l’identité africaine du Maroc, si bien que les puissances extérieures ne peuvent plus continuer de considérer la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) et l’Afrique subsaharienne comme deux espaces géopolitiques distincts, sans risquer de perdre de vue cet élan continental. Dès 2028, la Chine sera la première puissance économique mondiale, passant devant les Etats-Unis. Cette affirmation a impliqué d’importantes transformations à l’échelle domestique. Le roi du Maroc Mohammed VI prononce un discours lors de la plénière principale de l’Union africaine à Addis-Abeba le 31 janvier 2017, après avoir été réadmis au sein de l’institution panafricaine. Quelques années plus tard, en 2018, la demande d’adhésion du Maroc à la CEDEAO prenait aussi de court l’ensemble de classe politique internationale. Mine d’or d’Essakane: la production estimée à 113 000 onces au premier trimestre 2021, Lutte contre la fraude : 10 000 pagnes contrefaits avec des motifs du Faso Dan Fani saisis, Kako Nubukpo, nouveau commissaire à l’UEMOA : « Je n’ai abandonné aucune de mes convictions, aucun de mes principes », BCEAO: appel à candidature pour la 44e promotion du COFEB, Commerce électronique : plus de 26.000 milliards de dollars de ventes au détail en ligne stimulées par la Covid-19, Cryptomonnaies: le bitcoin passe sous la barre des 50 000 dollars, UEMOA: la masse monétaire en hausse en janvier 2021, Reconstruction post-Covid-19 : la BAD fait un don de 4 millions de dollars américains pour renforcer la résilience des jeunes entrepreneurs des pays du G5 Sahel, «Le coaching est un métier et comme tout métier il doit s’apprendre»: (Eldaa Koama, directrice générale de Improv’you), Produits locaux: Harouna Kaboré sur les traces de la première unité de fabrication de coton hydrophile, La campagne agricole 2021/2022 s’annonce historique pour la filière soja, Second compact du MCC : L’assemblée nationale acte la loi de financement de plus de 275 milliards de FCFA, Israël vise à réduire de 80 % ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050, Covid-19 :l’OIT préconise des systèmes de sécurité et de santé au travail résilients pour les prochaines crises, Appel à candidature pour la participation à la dixième édition du Prix Burkinabè de la Qualité (PBQ), Transport : l’union des chauffeurs routiers suspend son mot d’ordre de grève, L’analyse de la conjoncture économique devient l’art de prévoir le présent, Faiblesse des recettes fiscales dans la zone UEMOA : « Cela est imputable à une mauvaise qualité de la gouvernance et des institutions » (Dr Aïchatou Mourfou). Le magazine Forbes a rapporté que «le Maroc était déjà le plus grand client américain d’armes dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord en 2019» et que «Washington a conclu des accords d’armes avec Rabat d’une valeur d’environ 10,3 milliards de dollars, l’année dernière » !…. Cette affirmation a impliqué d’importantes transformations à l’échelle domestique. Il s’agit de l’intégration du Maroc au sein du continent et de son déploiement en tant que puissance africaine, tant dans son identité propre que dans son espace de projection. Elle est réaliste car elle s’efforce de dépasser les clivages idéologiques pour défendre de façon plus rationnelle et pragmatique un certain nombre d’intérêts nationaux, et parce que le système décisionnel est centralisé autour du chef de l’État, ce qui a notamment pour avantage de pouvoir réguler l’action individuelle des opérateurs économiques à des fins de politique étrangère. Depuis l’avènement du règne de Mohammed VI en 1999, le Maroc déploie une nouvelle politique étrangère continentale. En 2004 l Afrique du Sud à reconnu la fantomatique République de tinfouf. Watch later. Les visites royales n’ont pas tardé à produire des résultats positifs. Pendant une longue période de son histoire diplomatique, entre le moment où le royaume avait quitté l’OUA (1984) et le début du règne du Mohammed VI (1999), l’approche marocaine avait consisté dans l’application d’une forme de « Doctrine Hallstein » sur le continent, en coupant systématiquement ses relations diplomatiques avec les pays qui reconnaissaient le Front Polisario comme un représentant légitime du peuple sahraoui. Depuis le début du règne de Mohammed VI, le Maroc s’est davantage ouvert aux marchés mondiaux des capitaux et s’est engagé à l’échelle domestique dans la quête de l’émergence par la croissance économique. La reconnaissance diplomatique de l’intégrité territoriale marocaine n’était toutefois pas le seul leitmotiv de cette politique africaine. Ce Projet est une initiative de la Fondation Trophée de l'Africanité. En matière diplomatique, la stratégie indirecte est l’art de faire un usage extensif et offensif de la diplomatie, de façon à contourner les champs conflictuels, à obtenir des bénéfices sans lien avec l’affrontement contre l’adversaire (dans ce cas précis le Front Polisario et les États qui le soutiennent), tout en paralysant ce dernier par la multiplication des moyens de dissuasion diplomatique. L’incarnation de ce rôle à deux niveaux (intérieur et extérieur) formera dès lors la caractéristique principale de son style politique. Le retour du Maroc au sein de l’Union africaine en 2017 et l’appui croissant des États africains à la reconnaissance de la marocanité du Sahara occidental – 15 pays ont ouvert un consulat dans les provinces du sud en 2020 – ont suscité un éveil des consciences sur une dynamique pourtant déjà à l’œuvre depuis des années. Il y a encore dix ans, peu de personnes connaissaient ou s’intéressaient à la politique africaine du Maroc. Le Maroc était désormais reconnu comme une puissance continentale, au même titre que l’Afrique du Sud ou le Nigeria. Pendant une longue période de son histoire diplomatique, entre le moment où le royaume avait quitté l’OUA (1984) et le début du règne du Mohammed VI (1999), l’approche marocaine avait consisté dans l’application d’une forme de « Doctrine Hallstein » sur le continent, en coupant systématiquement ses relations diplomatiques avec les pays qui reconnaissaient le Front Polisario comme un représentant légitime du peuple sahraoui. Cette étude vise à mettre en évidence les stratégies employées Aujourd’hui, cette dimension de l’identité et de la diplomatie du royaume apparaît comme une évidence et comme une réussite. Le Royaume ambitionne d’être reconnu comme une puissance africaine émergente dans son identité comme dans son espace de projection. Avec cette reconnaissance, la République apartheid sud-africaine, pensant être une puissance africaine, croyait qu elle allait résoudre le problème du Sahara marocain et en faveur des pions d Alger. Les étudiants continentaux sont encouragés à venir étudier au Maroc, et les acteurs associatifs marocains sont intégrés dans les réseaux de diplomatie parallèle. Aujourd’hui, cette dimension de l’identité et de la diplomatie du royaume apparaît comme une évidence et comme une réussite. Dans cette perspective, la diplomatie bilatérale est apparue comme le cadre le plus propice à un réengagement aussi prudent que progressif. Le Maroc, une puissance bancaire africaine [Africa Diligence] Le Maroc est le 4e marché bancaire africain en termes de croissance et de rentabilité, selon une nouvelle étude du cabinet McKinsey. Les étudiants continentaux sont encouragés à venir étudier au Maroc, et les acteurs associatifs marocains sont intégrés dans les réseaux de diplomatie parallèle. Si cette motion n’a pas abouti, elle a néanmoins marqué un renversement décisif des rapports de force continentaux. Cette quête s’est illustrée par des investissements considérables dans les infrastructures urbaines et rurales, par la transition vers la production manufacturière et par le maintien d’un taux de croissance de 4 % en moyenne depuis les années 2000. La prééminence royale sur la politique étrangère a joué un rôle central dans ce processus. L’ouvrage La politique africaine du Maroc : identité de rôle et projection de puissance, invite à revisiter l’histoire de l’orientation africaine de la diplomatie depuis le début du règne de Mohammed VI (1999) dans ses fondements, ses intérêts, ses champs d’action, ses difficultés et ses conséquences. Celle-ci s’est illustrée par la formation d’imams de différents pays d’Afrique de l’Ouest, parallèlement à la formation militaire dans ces mêmes pays, ainsi que par l’institutionnalisation du soufisme et des réseaux confrériques régionaux, entre autres choses. Cette intégration a reposé principalement sur le levier diplomatique et sur une « stratégie indirecte » conduite depuis le début du règne de Mohammed VI. Le Maroc était désormais reconnu comme une puissance continentale, au même titre que l’Afrique du Sud ou le Nigeria. Dans le prolongement ou en préparation des visites royales, les déplacements du ministre des Affaires étrangères permettaient d’assurer le bon déroulement des négociations. Ce sont des concurrents par rapport à la France et ils sont très forts. La prééminence royale sur la politique étrangère a joué un rôle central dans ce processus. Il s’agit de l’affirmation et la reconnaissance internationale de l’identité africaine du royaume. Si les opérateurs économiques sont influents et déterminants dans les orientations prises par la diplomatie, la particularité de la stratégie marocaine réside toutefois dans la subordination de l’outil économique aux impératifs politiques. © 2020/2021 - Tous les droits réservés. L’identité de rôle du Maroc peut être qualifiée par la notion de « juste milieu ». Celle-ci était considérée comme inexistante par certains, comme une diplomatie de niche, voire comme une tentative d’intégration vouée à l’échec par d’autres. Share. C’est au nom de cette identité de rôle que le Maroc s’est consacré à la coopération Sud-Sud en Afrique, en déployant notamment des diplomaties humanitaires, culturelles et religieuses. Quelques années plus tard, en 2018, la demande d’adhésion du Maroc à la CEDEAO prenait aussi de court l’ensemble de classe politique internationale. Cette subordination n’est pas toujours aisée, dans le contexte international de l’affaiblissement des États au profit de la montée en puissance des firmes. La reconnaissance des provinces sahariennes n’étant plus une condition à l’établissement d’un cadre de coopération, le champ était, désormais, beaucoup plus libre. Puissance maroc. Il y a encore dix ans, peu de personnes connaissaient ou s’intéressaient à la politique africaine du Maroc. Au XVe siècle, une fois la Reconquista chrétienne terminée, le Maroc ne fut plus qu'une puissance africaine et ses relations avec l'Occident changèrent alors de nature… Afin de mieux appréhender ces dernières, nous nous sommes adressés à Bernard Lugan qui a publié aux éditions Perrin, en 2000, une Histoire du Maroc des origines à nos jours . Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Un rôle que la diplomatie marocaine maîtrise parfaitement bien. Et vous allez voir que, bientôt, le Maroc va devenir une superpuissance africaine», a-t-il expliqué. Elle est constructiviste car elle repose sur la défense d’une identité de rôle à l’échelle internationale. Cette stratégie contraste clairement avec le passé. En effet, la pérennité des accords de coopération reposait sur la caution symbolique apportée par le monarque à l’entretien de liens personnels avec les chefs d’État africains. L’identité de rôle du Maroc peut être qualifiée par la notion de « juste milieu ». Tap to unmute. En effet, la pérennité des accords de coopération reposait sur la caution symbolique apportée par le monarque à l’entretien de liens personnels avec les chefs d’État africains. En l’espace de 15 ans, entre 2001, date de sa première visite en Mauritanie, et 2016, date de la demande de réadmission à l’UA, le roi a effectué une quarantaine de visites d’État sur le continent, instaurant de nouveaux cadres de coopération multisectoriels, en priorité avec les pays francophones. Depuis le début du règne de Mohammed VI, le Maroc s’est davantage ouvert aux marchés mondiaux des capitaux et s’est engagé à l’échelle domestique dans la quête de l’émergence par la croissance économique. Info. La reconnaissance des provinces sahariennes n’étant plus une condition à l’établissement d’un cadre de coopération, le champ était, désormais, beaucoup plus libre. Shopping. Le retour du Maroc au sein de l’Union africaine en 2017 et l’appui croissant des États africains à la reconnaissance de la marocanité du Sahara occidental – 15 pays ont ouvert un consulat dans les provinces du sud en 2020 – ont suscité un éveil des consciences sur une dynamique pourtant déjà à l’œuvre depuis des années. L’identité africaine du Maroc puise ses sources dans une longue histoire d’échanges culturels et commerciaux avec les pays sahariens et subsahariens, mais elle a véritablement fait l’objet d’une déclaration officielle dans la nouvelle Constitution de 2011. De nombreuses grandes entreprises publiques et privées souhaitent désormais offrir leurs services à l’extérieur des frontières marocaines et investir de nouveaux marchés. Le Maroc devient ainsi le premier investisseur en Afrique de l’Ouest et le second sur le plan continental. A l’échelle africaine, le Maroc est le cinquième pays le plus puissant d’Afrique, derrière l’Égypte (25e au niveau mondial), l’Afrique du Sud (32e), le Kenya (52e) et le Ghana (55e). Sarkozy : Le Maroc est une "puissance africaine" et son retour au sein de l'UA est "très important" Quelle est la différence entre la Banque mondiale et le FMI ? La présence économique marocaine s’est dès lors affirmée dans différents secteurs en Afrique, parmi lesquels les industries minières, les infrastructures, les banques et assurances, l’agriculture et l’agroalimentaire, les télécommunications et les finances. C’est au nom de cette identité de rôle que le Maroc s’est consacré à la coopération Sud-Sud en Afrique, en déployant notamment des diplomaties humanitaires, culturelles et religieuses. Cette subordination n’est pas toujours aisée, dans le contexte international de l’affaiblissement des États au profit de la montée en puissance des firmes. Pour le journal El Espanol, le Maroc est en passe de devenir la plus grande puissance militaire d'Afrique du Nord. Dès le milieu des années 2010, le royaume devenait ainsi le premier investisseur africain en Afrique de l’Ouest et le deuxième à l’échelle continentale, après l’Afrique du Sud. Il s'agit de l'intégration du Maroc au sein du continent et de son déploiement en tant que puissance africaine, tant dans son identité propre que dans son espace de projection. Mais le pays souffre aussi d’un voisinage difficile ; il appartient à une région instable depuis les révolutions arabes qui avaient démarré en 2011. Les revenus générés par la banque de détail devraient se situer à 1,2 milliard de dollars en 2022 pour les établissements marocains, selon les projections du cabinet. La politique africaine du Maroc repose sur une approche à la fois réaliste et constructiviste. À titre d’exemple, la presse s’intéresse davantage, depuis une dizaine d’années, à l’histoire et à l’actualité africaine, et les acteurs culturels sont invités à créer des liens avec les artistes africains. En l’espace de 15 ans, entre 2001, date de sa première visite en Mauritanie, et 2016, date de la demande de réadmission à l’UA, le roi a effectué une quarantaine de visites d’État sur le continent, instaurant de nouveaux cadres de coopération multisectoriels, en priorité avec les pays francophones. Assemblée nationale : les députés adoptent le projet de loi de finances rectificative. La femme est l’avenir de l’homme… et de la stabilité bancaire ! Longtemps accusé de défendre ses intérêts territoriaux au détriment d’une vision solidaire avec l’Afrique, le royaume a voulu démontrer que la défense de ses intérêts n’était pas incompatible avec l’expression de cette solidarité. Elle renvoie à la volonté du Maroc d’être reconnu dans sa modération religieuse et politique, et surtout dans son rôle de pont entre différentes aires géoculturelles, sur la base de sa propre identité nationale d’État multiculturel. - Conception: OMZAKREVO Informatique. Celle-ci était considérée comme inexistante par certains, comme une diplomatie de niche, voire comme une tentative d’intégration vouée à l’échec par d’autres. Le Maroc est bien placé pour devenir une puissance africaine d’équilibre en composant avec les uns et les autres. Sur le plan humanitaire par exemple, Mohammed VI reproduit en matière de politique étrangère les mêmes pratiques qui caractérisent son style politique au niveau intérieur : des dons directs, la rencontre des populations et plus généralement un investissement personnel dans le développement social. Copy link. Le Maroc est devenu une puissance économique à l’échelle africaine, ont affirmé récemment à Rabat, les participants à une conférence organisée sous le thème "Le Maroc … C’est le cas par exemple dans la gestion de l’électricité, le Maroc ayant atteint un taux de 99 % en matière d’électrification rurale en 2019 contre moins de 30 % en 1999. En matière diplomatique, la stratégie indirecte est l’art de faire un usage extensif et offensif de la diplomatie, de façon à contourner les champs conflictuels, à obtenir des bénéfices sans lien avec l’affrontement contre l’adversaire (dans ce cas précis le Front Polisario et les États qui le soutiennent), tout en paralysant ce dernier par la multiplication des moyens de dissuasion diplomatique. Le roi du Maroc fête ce mardi ses vingt ans de règne et entend faire de son pays le pilier du continent africain. Le Maroc est une puissance africaine. La particularité de cette diplomatie de sécurité religieuse réside dans sa dimension spécifiquement africaine, puisqu’elle a accompagné l’affirmation du royaume en tant que pays africain, au-delà de son caractère arabo-amazighe. Source: L’ouvrage La politique africaine du Maroc : identité de rôle et projection de puissance, invite à revisiter l’histoire de l’orientation africaine de la diplomatie depuis le début du règne de Mohammed VI (1999) dans ses fondements, ses intérêts, ses champs d’action, ses difficultés et ses conséquences. Au départ connue comme une expression philosophique, puis religieuse, la notion de « juste milieu » a acquis une valeur politique dans le champ discursif des décideurs marocains. Sahel: 29 millions de personnes ont besoin d’aide humanitaire, Côte d’Ivoire: Kouadio Francis Koffi plaide pour la création de l’institut de formation politique du PDCI-RDA, Journée mondiale de la santé : l’ONU dénonce une santé axée de plus en plus sur le profit, Malgré un chiffre d’affaires de 44 milliards d’euros,Amazon ne paiera pas d’impôt en Europe, retour du Maroc au sein de l’Union africaine en 2017, 2016, date de la demande de réadmission à l’UA, L’ensemble des ministères, ainsi que le secteur privé, quête de l’émergence par la croissance économique, croissance de 4 % en moyenne depuis les années 2000, premier investisseur africain en Afrique de l’Ouest, deuxième à l’échelle continentale, après l’Afrique du Sud, lui reconnaît un leadership africain dans le champ religieux, https://www.econouv.com/wp-content/uploads/2020/10/VID-20201006-WA0000.mp4. Sauf que dans les faits c'est autre chose. En 2013, une nouvelle politique migratoire a été instituée de façon à faciliter la régularisation et l’intégration des migrants subsahariens. Future puissance africaine ? Dès les années 2013-2015, le roi était surnommé « Mohammed VI l’Africain » par la presse nationale et étrangère. Au départ connue comme une expression philosophique, puis religieuse, la notion de « juste milieu » a acquis une valeur politique dans le champ discursif des décideurs marocains. Il s’agit de l’affirmation et la reconnaissance internationale de l’identité africaine du royaume. Cette pratique avait alors conforté son exclusion de plusieurs sphères de coopération multilatérales africaines.
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